Envie de reconversion professionnelle ?
Coach spécialisé en reconversion professionnelle, ma mission consiste à accompagner mes clients pour réussir cette délicate phase de transition. J’ai par exemple dernièrement travaillé avec une assistante maternelle qui souhaitait évoluer vers des fonctions de consultante ERP, ou bien encore un parachutiste qui voulait devenir mandataire de justice.
Je vous livre dans cet article mes 10 conseils pour réussir votre reconversion. (ICI, accès direct à mes programmes de coaching, avec tarifs).
1/ Quelle est votre situation ?
Aujourd’hui, vous envisagez une reconversion professionnelle, vous voulez changer de métier, voire changer de vie, en créant un contexte nouveau. Vos motivations peuvent être variées, mais se résument souvent autour de deux grandes idées.
Un : vous êtes fatigué de vos fonctions actuelles, vous voulez du changement. Deux : vous ne trouvez pas d’emploi avec vos qualifications actuelles, ou bien vous anticipez sur un avenir bouché. Souvent, ces deux éléments peuvent se rencontrer, par exemple quand on envisage une reconversion professionnelle à 50 ans ou 55 ans, sans diplômes.
Maintenant, votre envie de reconversion vous plonge dans le doute. Quel métier choisir ? Comment ne pas se tromper ? Comment faire accepter votre démarche à votre entourage ? Serez-vous crédible face à vos futurs employeurs ou clients ?
Plus au fond, vous vous demandez si vous aurez l’énergie et la motivation pour aller au bout de votre projet. Changer de métier représente un risque important, et va souvent mettre à mal votre confiance en vous. Vous n’avez pas envie de vous investir dans un nouveau métier pendant 6 mois, pour découvrir qu’il ne vous convient pas…
Bref, vous êtes partagé. D’un côté, il y a cette envie de faire ce grand bond vers un nouveau métier. Mais d’un autre côté, ce grand bond vous fait peur. Résultat : vous traversez une phase d’incertitude. Cet état émotionnel est parfaitement normal. Pour vous aider à réussir votre reconversion professionnelle, il est essentiel de bien définir ce concept. C’est ce que nous découvrons maintenant.
2/ Reconversion professionnelle : définition
C’est quoi, une reconversion professionnelle ? C’est une étape de votre carrière qui vous impose de développer de nouvelles compétences pour changer de métier.
Par exemple, vous êtes orthophoniste et vous envisagez une reconversion en tant que développeur l’informatique, enseignant ou kiné. Autre exemple, vous êtes psychologue, et vous souhaitez devenir infirmière, militaire ou avocat ! Bref, il s’agit d’un changement total d’univers, souvent synonyme d’une sérieuse remise en question.
A noter qu’un changement de secteur n’est pas une reconversion. Un comptable dans le tourisme n’a pas besoin de se reconvertir pour devenir comptable dans l’industrie. Il devra juste se familiariser avec de nouvelles procédures. Les bases restent les mêmes. Aussi, certains changements sont plus des évolutions professionnelles. Par exemple, un plombier qui devient frigoriste va utiliser les mêmes compétences de base : souder, lire un plan, raccorder des installations… Là, on parle plus de spécialisation.
Une reconversion impose donc de développer de nouvelles compétences. Cependant, certains savoir-faire de votre ancien métier seront souvent transposables dans le nouveau. Par exemple, un enseignant qui veut devenir agent immobilier pourra capitaliser sur un bon niveau d’anglais. De même, lors de la reconversion d’un gestionnaire de paye en webmaster, une bonne maitrise d’excel pourra être un plus, pour mettre en forme des statistiques du suivi de l’activité. Aussi, un ancien militaire ou officier de gendarmerie sera souvent apprécié pour sa rigueur… Ce côté » transposable » amène la question : faut-il faire un bilan de compétences ?
3/ Faire un bilan de compétences ? Attention !
En tant que coach spécialisé en reconversion professionnelle, contrairement à une idée répandue, je pense qu’une réorientation professionnelle ne doit pas obligatoirement commencer par un bilan de compétences.
Un coach » Bilan de compétences » peut à mon sens commettre une erreur : il part des compétences actuelles du candidat, alors que la définition même d’un reconversion, c’est : » une transition qui impose de développer de nouvelles compétences. » Oui, le consultant parlera aussi du projet du candidat, mais alors pourquoi ne pas parler de « Projet professionnel » plutôt que de » bilan de compétences » ?
Par ailleurs, autant il y a des coach » bilan de compétences » sérieux, autant certaines structures sont de véritables usines. En effet, les bilans de compétences sont majoritairement éligibles au CPF (compte personnel de formation) ou peuvent se dérouler dans le cadre d’un plan de développement de compétences ou d’un congé de reclassement.
A titre d’exemple, un bilan de compétence peut s’effectuer pour un tarif de 1000 à 3000 Euros TTC, avec un financement par un OPACIF (par exemple FONGECIF) en général de 100 %. Parlons clair : c’est un marché juteux, d’où la multiplication d’officines spécialisées. Sur une année, on peut estimer à 50 000 le nombre de bilan de compétences délivrés aux salariés. Si on part sur un coût moyen à 2000 Euros, le » fromage » est donc de 2000 x 50 000 = 100 millions d’Euros. De quoi susciter des vocations !
Aussi, il y a une erreur fondamentale avec le bilan de compétences. Beaucoup de personnes attendent le » déclic magique » qui va leur donner LA SOLUTION. Comme un grand coup de tonnerre dans le ciel. Cet aspect est bien souvent montré dans les reportages à la télé, qui ont tendance à enjoliver. Maintenant, plus prosaïquement, quand face au consultant on découvre les résultats des tests, la réaction est bien souvent » Ouais, bof, et alors ? » Pas franchement une révélation !
Ce que je reproche au bilan de compétence, c’est de rester essentiellement une approche intellectuelle (à la française !) Dans certains cas, un bilan de compétences peut même vous démotiver ! J’insiste sur le choix du prestataire, ne vous engagez pas au petit bonheur. Maintenant, si on ne se base pas sur un bilan de compétences pour se reconvertir, alors on fait quoi ? J’en parle dans le point suivant…
4/ Réaliser une étude de marché : indispensable !
Mon sentiment : quand on souhaite se reconvertir, il est important de commencer par une étude de marché. Les bonnes questions à se poser sont : quels sont les secteurs, les métiers qui recrutent ? Ces secteurs vont-ils recruter sur le long terme ? Les métiers que j’envisage présentent-il le risque d’être délocalisés ou automatisés ? Beaucoup de métiers sont amenés à disparaitre. Bref, la question à se poser est » Quel métier choisir ? » en ayant en tête des métiers porteurs.
Exemple : envisager un changement de carrière en tant que comptable n’est pas forcément une bonne idée. En effet, les opérations comptables sont de plus en plus souvent automatisées. Par ailleurs, ces opérations peuvent être délocalisées. Aussi, il y a pléthore de gens formés en comptabilité qui ne trouvent pas de travail. Le marché est donc saturé.
A contrario, certains métiers manuels, comme boucher, souffrent d’une pénurie chronique de main d’oeuvre. En France, un boucher qualifié trouve du travail en 24H. Autre métier qui recrute : aide-soignante, infirmière. Maintenant, dans le choix du métier, tenez aussi compte des problèmes spécifiques que vous pouvez avoir. Si vous avec un mal de dos chronique, certains métiers ne sont pas recommandés !
A noter que les métiers du web, du digital et de l’informatique proposent de nombreuses pistes de reconversion : webmaster, community manager, analyste web, chef de produits e-commerce, développeur applis mobile iOS/android, consultant big data, responsable affiliation, web designer, animateur 3 D, spécialiste SEO… Cette nouvelle génération de métiers est à étudier en profondeur. En particulier, ces métiers permettent une certaine souplesse dans votre emploi du temps.
Comme ces métiers sont assez nouveaux, vous ne serez pas forcément jugé sur vos diplômes (qui pour certains domaines n’existent pas encore !) mais sur votre capacité à faire les choses. Cela peut être un atout. Par ailleurs, ces nouvelles compétences peuvent être développées en parallèle de votre poste actuel, (j’y reviens dans le point 6).
5/ Choisir la ville où se reconvertir… ou pas !
Autre point clé : pour votre reconversion, votre étude de marché doit certes porter sur les métiers qui recrutent. Mais votre étude doit aussi porter sur la bonne région où travailler.
Le marché français n’est pas uniforme. Si vous souhaitez une reconversion à Paris, Lyon, Lille, Bordeaux, Marseille, Toulouse Nantes ou Montpellier, vous serez confronté à des réalités différentes du marché de l’emploi. Choisissez des villes qui disposent de plusieurs types d’activité du genre : tourisme + université + hôpital + industrie + agriculture…
Suivre l’actualité locale peut vous aider à repérer les zones dynamiques. A noter qu’il est préférable de résider à proximité d’une ville d’au minimum 50 000 à 100 000 habitants. En dessous, les opportunités sont plus rares, car le tissu économique est moins dense. Vous trouverez sur le web des classements des villes à privilégier. A titre d’exemple, Pessac et Villeneuve d’Ascq sont des villes dynamiques, qui bénéficient de la proximité avec de grandes métropoles.
Aussi, pourquoi se limiter à la France ? Certain métiers sont saturés en France, mais le sont moins à l’étranger. Une reconversion peut aussi se combiner avec une expatriation. Là, le changement de style de vie sera total ! A 45 ou 50 ans, il est encore temps de se lancer dans une telle démarche. Ensuite, il sera trop tard. Peut-être que dans votre pays, vos compétences n’ont rien d’extraordinaire, mais qu’à l’étranger, elles valent de l’or.
Si vous ne voulez pas déménager, vous pouvez aussi choisir une activité que vous réaliserez de chez vous. Par exemple, en tant que coach ou consultant, vous pourrez donner des conseils en ligne, par exemple lors de sessions de coaching par Skype. Plus généralement, le télé-travail est une piste à étudier, car elle peut vous permettre d’équilibrer vie professionnelle et vie familiale. Cela peut aussi être une bonne solution, dans une phase de transition ou une phase de test.
6/ Reconversion professionnelle, par où commencer ?
Il s’agit dans un premier temps de partir du marché. Pour cela, lisez les offres d’emploi, visitez des forums pour l’emploi, découvrez les secteurs les plus dynamiques dans votre région. Il ne sert à rien de se » faire un film » en se disant » Je veux devenir ceci ou cela, » si c’est pour s’apercevoir 6 mois plus tard que ce secteur ne recrute pas ou que les recruteurs vous disqualifient systématiquement sur votre âge.
Une façon simple de se faire une idée : allez sur google et tapez » Les métiers où il y a le plus d’offres d’emploi non pourvues » ou encore » Les métiers en pénurie de main d’oeuvre » » Les métiers qui recrutent » ou bien encore » Les métiers de demain. » Il ne s’agit pas de prendre des paris sur ce qui va marcher, mais de partir de données fiables. Trouver sa voie professionnelle demande un important travail de recherche.
En suivant cette démarche, vous verrez émerger 4 ou 5 métiers, qui recoupent vos centres d’intérêts. Parmi ces métiers, choisissez en deux qui vous attirent particulièrement, ceux qui font sens. Votre curiosité est le meilleur guide ! Allez sur le terrain, recueillez des témoignages de personnes qui exercent ces professions. On a parfois tendance à idéaliser ! On peut par exemple envisager une reconversion en tant qu’orthophoniste, sans véritablement réaliser les contraintes du métier, à savoir : la plupart des patients sont des enfants scolarisés, il faut donc être disponible après 17 h, voire le samedi…
Pour vous faire une idée plus précise et sortir de la procrastination, effectuez des petits boulots ou des jobs d’intérim dans le secteur. Foncez, ne négligez aucune piste ! Multipliez les tests sur différents secteurs. Un engagement dans le secteur associatif peut aussi vous apporter des éléments de réflexion. Ces tests » grandeur nature » vous donneront une vision de première main sur la réalité du métier.
Par exemple, si vous voulez vous reconvertir dans la décoration intérieure, allez travailler dans une grande surface décoration/bricolage, animez des lancements de produits, ce genre de choses. A ce stade, ce n’est pas l’argent gagné qui compte, c’est l’expérience accumulée. Un boulot payé au SMIC horaire peut vous aider à prendre la bonne décision.
7/ Reconversion professionnelle, autres pistes à étudier
Et si vous choisissiez un emploi dans la fonction publique ? Devenir prof, par exemple institutrice, pourquoi pas ? La fonction publique, d’Etat ou Territoriale, propose de très nombreux postes, dont certains sont passionnants. Par exemple, vous pourrez contribuer au développement de l’emploi local, ou encore coordonner l’action de communes pour la gestion d’une rivière.
Autre piste : se reconvertir à son compte. Mais cela doit être un vrai choix. Une reconversion professionnelle subie est rarement un succès ! Je vous recommande de vous orienter vers des activités qui ne soient pas trop gourmandes en capital, tout au moins au début. En effet, investir toutes ses économies – ou bien s’endetter – pour se lancer dans une activité que l’on ne connait pas bien est un risque énorme. Ne vous mettez pas la pression ! Aussi, en tant que novice, vous pouvez être la cible de personnes peu scrupuleuses.
Aussi, si vous vous mettez à votre compte, la question clé sera bien souvent : comment trouver des clients ? Des connaissances en marketing internet vous seront d’une grande aide. Beaucoup de personnes ont des blocages quand il s’agit de vendre. Si vous vous mettez à votre compte, vous devrez apprendre à vendre, sans faire le forcing. Cela n’est pas forcément évident.
A noter que vous pouvez vous reconvertir non pas en un seul métier, mais en plusieurs ! Vous deviendrez alors ce que l’on appelle un » slasheur » ou une « slasheuse. » Par exemple, vous serez coiffeur/rédacteur de livres pour enfants, ou bien encore pâtissier/prof de yoga/photographe. Là, le point clé, c’est la gestion du temps. Pouvez-vous caser votre deuxième ou troisième métier dans les temps morts du premier ? La souplesse horaire doit vous guider dans vos choix. Vous pouvez avoir un métier » du week-end » par exemple photographe de mariage, et un métier » de la semaine » par exemple carreleur. Cette approche est aussi un moyen de mettre de la diversité dans votre vie.
8/ Reconversion professionnelle : gagner en crédibilité
Une fois que vous avez un objectif, demandez vous : » Qu’est ce qui pourra me rendre crédible auprès d’un employeur ou d’un client, si je travaille à mon compte ? » Il y a bien sur les expériences diverses : stages, petits boulots, etc. Il y a aussi les formations.
Nota : je suis d’avis qu’il faut privilégier les formations en alternance. Par ailleurs, il est à mon sens rarement justifié de s’engager dans des formations longues et coûteuses. Se reconvertir en un an (ou moins) est bien souvent possible. Il faut mieux à mon sens commencer par des formations » express » et monter en puissance par la suite. Inutile d’investir des milliers d’euros, pour découvrir par la suite que le métier ne vous convient pas !
Nota : en tant que coach » changement de carrière » je note que beaucoup de candidats à la reconversion ont tendance à penser que leur reconversion va être financée par un tier, par exemple Pôle Emploi (dispositif tel que l’AIF, aide individuelle à la formation) ou encore par le conseil régional (chèque formation). Oui, il existe des aides à le reconversion, et une question à se poser est » Quel organisme contacter pour une reconversion professionnelle ? « Le Fongecif est aussi une bonne piste de financement.
Vous rêvez d’une nouvelle carrière ? Maintenant… tout ne va pas tomber du ciel ! Les aides financières sont attribuées selon des critères ciblés. Dans certains cas, vous devez être prêt à financer vous-même votre réorientation professionnelle. Parlons clair, si vous attendez le financement d’un tiers, vous risquez de vite déchanter…
Par exemple, le CPF (compte personnel de formation, ancien DIF) couvre bien souvent un volume horaire trop faible pour une véritable reconversion. A noter que si vous êtes au chômage, vous pourrez parfois accéder à des programmes spécifiques de reconversion, par exemple pour devenir conducteur de travaux, si la demande locale est forte.
9/ Reconversion professionnelle : la formation en ligne
Une piste souvent sous-estimée est la formation en ligne. Aujourd’hui, vous pouvez par exemple vous former en ligne au codage ou a la création de jeux vidéos, et cela pour des tarifs très abordables. Si vous parlez anglais, le catalogue d’offres devient quasiment infini. L’avantage de la formation en ligne, c’est que vous pouvez faire cela en parallèle de votre poste actuel.
Si vous êtes une femme au foyer qui s’occupe de ses enfants, cette souplesse pourra vous aider à travailler votre projet à votre rythme. De même si vous êtes infirmière avec des horaires atypiques. Aussi, quand par exemple on veut changer de métier à 45 ans ou 50 ans, on n’a pas forcément envie de retourner sur les bancs d’une école. En effet, on ne souhaite pas se placer dans un rapport » maître/élève » un peu infantilisant, on aspire à de l’autonomie. Ce que permet une reconversion » en ligne. «
A noter que même dans des métiers traditionnels, il existe des sites de formation en ligne. Par exemple, il est possible d’envisager une reconversion par le biais d’un CAP de pâtissier préparé en ligne, avec un suivi pédagogique personnalisé. Certaines structures proposent même de passer un CAP » à blanc » dans un laboratoire, histoire de prendre toutes ses chances de réussir la vraie épreuve pratique du CAP.
La formation en ligne est une tendance lourde dans le domaine de la reconversion professionnelle pour adulte. Pour développer de nouvelles compétences, vous n’avez plus besoin d’habiter une grande ville, comme Paris, Nantes, Bordeaux, Toulouse, Marseille ou Dijon. Vous pouvez très bien habiter Dechy, département du Nord, 5307 habitants !
10/ Un coach spécialisé en reconversion professionnelle
Comment se réorienter professionnellement ? Une fois que vous aurez défini votre projet, suivi des formations et accumulé de l’expérience, vous devrez vous vendre sur le marché du travail. Vous devrez en passer par des exercices obligés :
a/ Rédaction du CV : les personnes en reconversion ont souvent beaucoup de mal avec leur CV. Elles ne savent pas faire le lien entre leur parcours et leur projet. Résultat, face à un CV » zombie » le recruteur décide souvent de ne pas donner suite. C’est la case » poubelle. » Des astuces de présentation et de rédaction peuvent amener le recruteur à vous donner une chance. Dans la phase de rédaction de votre CV, vous devez réaliser un véritable bilan. Quelles sont les compétences à mettre en avant, et quelles sont celles à minimiser, voire à enlever de votre CV ?
b/ Rédaction de la lettre de motivation. Beaucoup de candidats ont tendance à en dire trop, à étaler leurs états d’âme, alors que la seule question que le recruteur se pose, c’est : » Cette personne sera-t-elle opérationnelle rapidement ? » Le recruteur n’est pas forcément intéressé par votre parcours de vie. Il est intéressé par votre capacité à produire ! Je vois beaucoup de lettres de candidats à la reconversion qui montrent une grande naïveté par rapport à la réalité du marché du travail.
c/ Rédaction du profil Linkedin. C’est un outil très souvent négligé, y compris pour trouver de simples stages. En tant que coach en réorientation professionnelle, je constate que beaucoup de mes clients trouvent des postes par le biais de Linkedin. Encore faut-il savoir comment se présenter, et quelles sont les erreurs à éviter sur son profil en ligne.
d/ Savoir gérer les entretiens d’embauche. Le problème de la personne en reconversion, c’est qu’elle aborde bien souvent les entretien d’embauche avec un complexe. Elle a le sentiment d’être un imposteur lors des différentes phases de son recrutement. Un coaching ciblé » entretien d’embauche reconversion » va lever ces blocages. Le candidat sera à même de justifier sa reconversion. Aussi, il saura argumenter sur les points forts de sa candidature. Bref, le recruteur sera rassuré. Encore faut-il savoir sur quels boutons appuyer, et comment vaincre les préjugés des recruteurs, en particulier sur l’âge ! C’est là que l’expertise d’un coach » changement de carrière » apporte toute sa valeur.
Le tarif coaching reconversion professionnelle se compte en centaines d’euros, pour un travail en profondeur sur ces différentes phases. (Ici découvrez mes formules de coaching emploi). Cet accompagnement professionnel peut vous éviter des semaines, voire des mois, d’errance et de démotivation. En effet, le coach reconversion professionnelle vous apporte une méthodologie qui vous permet de vous concentrer sur ce qui est important. De plus, au delà de vous apporter des arguments à présenter à vos futurs employeurs ou clients, l’accompagnement du coach de vie professionnel vous apporte confiance en vous et en votre projet de changement de carrière.
Le coach spécialisé en reconversion professionnelle vous aide à bien gérer cette période de transition, où on se sent parfois bien seul ! En effet, l’entourage familial n’est pas toujours un pilier sur lequel s’appuyer, et même si votre projet est bien accepté, votre entourage ne sait pas forcément comment vous aider. Un coach vous guide pour trouver votre voie professionnelle, de ce fait, vous mettez toutes les chances de votre côté pour réussir votre changement de carrière.
+ Pour aller plus loin dans votre démarche de reconversion professionnelle…
Je vous invite à consulter mes programmes de coaching, pour mieux savoir construire et vendre votre projet. Programmes de coaching à cette adresse.
